(Lanka-e-News, Décembre 14, 2008, 11.45 h) Sri Lanka séparatiste des Tigres tamouls sont soumettant ethnique Tamouls dans le nord de leur bastion, le Vanni, au recrutement forcé, travail forcé abusif, et les restrictions à la liberté de mouvement qui mettent leur vie en danger , A déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd'hui. (15)

Les 17 pages du rapport, "Trapped et maltraités: les LTTE exactions contre des civils dans le Vanni," explique en détail comment les Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE), qui ont combattu pour un Etat tamoul indépendant depuis 25 ans, sont brutalement abuser du Tamil population dans les zones sous leur contrôle.
"Les LTTE prétend combattre pour le peuple tamoul, mais il est en grande partie responsables de la souffrance des civils dans le Vanni," a déclaré Brad Adams, directeur Asie de Human Rights Watch. «Comme le LTTE perd du terrain pour faire avancer les forces gouvernementales, de leur traitement les gens ils disent qu'ils se battent pour se détériore."
En face d'un gouvernement en cours offensive militaire, le LTTE a augmenté la pression sur la population civile sous son contrôle. Après avoir longtemps utilisé un système de laissez-passer coercitives pour empêcher les civils de quitter les zones qu'elle contrôle, le LTTE a maintenant complètement interdit de circulation sur le Vanni, à l'exception de certains cas d'urgence médicale. En refusant de permettre aux personnes déplacées de quitter le gouvernement pour le territoire, le groupe a fortement limité leur accès aux secours humanitaires. Seulement environ un millier de personnes ont réussi à fuir la zone de conflit depuis Mars 2008. "En refusant de permettre aux gens leurs droits fondamentaux à la liberté de circulation, le LTTE a piégé des centaines de milliers de civils dans une dangereuse zone de guerre», a dit Adams.

Le LTTE a une longue histoire de l'enrôlement forcé. Il ya eu une augmentation spectaculaire de la pratique d'obliger les jeunes hommes et les femmes, y compris des enfants, à unir leurs forces. Le groupe a récemment été au-delà de son long-standing "une personne par famille" politique de recrutement forcé dans le territoire qu'il contrôle maintenant et nécessite parfois deux ou plusieurs membres de la famille à rejoindre ses rangs.

»Pris dans les LTTE de la poigne de fer, les Tamouls ordinaires sont recrutés de force comme combattants et contraints de s'engager dans le travail dangereux à proximité de la ligne de front», a dit Adams.
L'accroissement des pressions internationales et d'autres facteurs ont conduit à une diminution de son recrutement d'enfants, de récents rapports indiquent que le groupe a intensifié le recrutement d'enfants dans le Vanni. Cadres des LTTE ont demandé à 14 - à 18 ans dans les écoles à se joindre. Le groupe envoie souvent les jeunes de 17 ans pour la formation militaire, apparemment par calcul que le temps de tels cas sont signalés aux organismes de protection, les jeunes auront 18 ans et non plus être considérée comme enfants soldats.

"L'année dernière, ils ont pris les gens nés en 1990 - maintenant ceux qui sont nés en 1991,« un humanitaire officielle de la Vanni a dit à Human Rights Watch. "Ils regardent à la famille des cartes d'identité et de prendre les jeunes. Si les gens de l'âge de porter les armes se cacher, ils prendront les jeunes enfants ou le père, jusqu'à ce qu'ils obtiennent les garçons ou les filles qu'ils veulent."

Au cours des 25 dernières années, les LTTE ont tué un grand nombre de civils, commis des assassinats politiques au Sri Lanka et à l'étranger, et a procédé à des attentats-suicide. Il a systématiquement éliminé la plupart des politiques de l'opposition au sein de la minorité tamoule et la communauté est responsable du meurtre de nombreux journalistes et des membres de bandes rivales organizations. Dans les zones sous son contrôle, le LTTE a décidé de la peur, refuser les libertés fondamentales d'expression, d'association, de réunion, et le mouvement.
Dans "Trapped et de mauvais traitements," Human Rights Watch appelle les LTTE à:

• Arrêter de prévenir les civils de quitter les zones sous son contrôle, le respect du droit à la liberté de circulation des civils, y compris le droit des civils de se déplacer à territoire contrôlé par le Gouvernement en matière de sécurité;
• Arrêtez tous le recrutement forcé dans les LTTE; mettre fin à toutes les enlèvements et la coercition;
• Mettre un terme à l'enrôlement d'enfants de moins de 18 ans; cesser d'utiliser des enfants dans des opérations militaires; libérer tous les enfants soldats actuellement dans ses rangs, ainsi que toutes les personnes qui ont été recrutés, mais lorsque les enfants sont maintenant de plus de 18 ans;
• Arrêtez tous les abusif ou non le travail forcé, y compris le travail qu'il qualifie de «volontaires»; cesser exigeant que toutes les familles de fournir la main d'oeuvre pour les LTTE; cesser de forcer les civils à se livrer à du travail directement liés à la conduite des opérations militaires, telles que la construction de tranchées et bunkers;
• Fournir les organismes humanitaires et les agences des Nations Unies sécurité et sans entrave, l'accès aux zones sous le contrôle du LTTE, et de garantir la sécurité de tous les agents humanitaires des Nations Unies et les travailleurs, y compris les résidents de Vanni travail humanitaire ou du personnel de l'ONU.

Des Tigres tamouls de liens avec des groupes terroristes islamistes
par Shanaka Jayasekara

Les Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE) est connu pour avoir une présence active dans plusieurs secteurs informels tels que le clonage de carte de crédit, le blanchiment d'argent et le trafic d'êtres humains en Europe et en Amérique du Nord. Toutefois, le LTTE est apparue comme une formidable force et l'influence dans le marché des armes et a attiré de tels accords de collaboration avec d'autres groupes terroristes. Le LTTE a développé des relations étroites avec plusieurs groupes islamistes opérant dans ces réseaux de manière à s'enrichir mutuellement.
Dans les premières années du militantisme tamoul au Sri Lanka Tamil plusieurs groupes ont reçu une formation militaire avancée de factions palestiniennes au Moyen-Orient. La première des contacts ont été établis autour de 1978-1980 entre Londres membres de l'Eelam Organization révolutionnaire des étudiants (EROS) et Syed Hamid de l'Organization de libération de la Palestine (OLP), succursale de Londres. L'OLP raccordement armes des possibilités de formation pour un nombre limité de jeunes tamouls dans les camps de l'OLP au Liban [1]. Un membre du début des lots qui ont reçu une formation en 1978 de l'OLP, le Fatah Al soutenu groupe, dirige actuellement un parti politique tamoul [2]. Au cours de la période entre 1980-1984, le Front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP), dirigé par George Habash, fourni des armes à plusieurs lots de PLOTE membres (People's Organization de libération de l'Eelam tamoul) FPLP dans les camps situés au Liban et en Syrie [3]. Les dirigeants palestiniens fourni une grande partie de la première exposition internationale et le soutien à la jeune groupes tamouls.
D'experts internationaux sur le terrorisme suicide Dr. Robert Pape, l'examen de la prolifération des opérations suicide, souligne que l'exposition aux Libanais de formation et les tactiques de groupes tamouls influencé l'adoption d'opérations-suicide au Sri Lanka [4].
Vers le milieu des années 1980, les Tigres tamouls a éliminé tous les autres groupes et apparue comme la plus impitoyable groupe tamoul au Sri Lanka. Elle a également absorbé la formation des combattants d'autres groupes. Les Tigres tamouls, qui jusque-là avait reçu plus de sa formation et les armes de l'Inde des services de renseignement (RAW et de la Troisième Agence), a trouvé l'expérience et les connaissances des combattants palestiniens formés compatible avec son répertoire tactique impitoyable. Le 5 Juillet 1987, les Tigres tamouls mené leur première opération suicide. Au cours de la période entre 1990 et 2000, les Tigres tamouls ont mené plus de 168 opérations suicides [5].
Avant le conflit actuel en Irak, le LTTE a effectué le plus grand nombre d'opérations-suicide par un groupe terroriste. Les LTTE ont transformé les opérations suicides terroristes qui avait examiné un estimé approche tactique utilisée exclusivement contre des objectifs de grande valeur, à une ligne de production approche. La formation d'un suicide permanent de l'armée connue sous le nom de Black Tigers est le reflet de la grande ligne de production à l'échelle de l'approche de la bombe humaine de tous les jours une arme. Les LTTE ont introduit la notion de "cible des opérations suicides" qui ont eu pour effet rendu un faible coût élevé de visibilité résultat d'accroître l'image du groupe. Cette radicalement transformé la nature de la tactique de toutes les futures opérations suicides au niveau mondial. Les opérations suicides étaient moins sur la cible, et plus sur le profil de la construction et l'augmentation de l'image du groupe. Les LTTE ont innové et l'amélioration des dispositifs de détonation et de la dissimulation méthodes contribuant de manière significative à l'amélioration de la technologie utilisée pour les opérations suicides. Avec le début de la deuxième Intifada dans la bande de Gaza et la Cisjordanie en Septembre 2000, le recours aux mass-échelle "cible des opérations suicide" proliféré dans le cadre de la tactique répertoire des groupes terroristes au Moyen-Orient. Par la suite, à partir de 2004, la Jama Al Tawhid wal Jihad, dirigé par le dignitaire religieux sunnite Al Zarqawi, qui plus tard lui-même affilié à Al-Qaida et a mené le plus grand nombre de cible des opérations suicide en Irak.
Les LTTE ont entretenu des relations étroites avec le Groupe d'appui kurde en France dans les années 1990. Le réseau européen des LTTE a été inspiré en grande partie de la diaspora des réseaux de soutien exploités par des groupes kurdes [6]. L'ancien chef de l'Office international des TLET, Lawrence Thilagar reçu une invitation spéciale à prendre la parole lors de l'inauguration du Parlement kurde en exil (KPE), le 12 avril 1995 à La Haye, Pays-Bas. Il est signalé que les contacts étroits entre le PKK et les LTTE ont abouti à l'acquisition de 11 LTTE sol-air missiles d'origine grecque du PKK [7].
Au cours de la période 1998 -2001 le régime des Taliban en Afghanistan, exploité l'un des principaux marchés d'armes fondée à la compagnie aérienne Ariana bureau à Sharjah. Une grande partie du matériel militaire que les Taliban ont acquis par l'intermédiaire du réseau de Sharjah a été fourni par le tristement célèbre marchand d'armes russe Victor Bout également connu sous le nom de marchands de la mort. Victor Bout et son associé Sanjivan Ruprah ont fourni des armes et de la formation à l'Afrique de l'Ouest plusieurs groupes rebelles et sont accusées de participation au commerce illicite des diamants [8]. Victor Bout ont mis en place un service de fret aérien à l'aéroport de Sharjah connu sous le nom de Air Cess, qui, avec la compagnie Ariana co-géré la plupart des livraisons militaires entre Sharjah et de l'Afghanistan [9]. Il est estimé que les exploités de Sharjah réseau de 3 à 4 vols quotidiens entre Sharjah et de Kandahar, le transport d'armes et de fournitures pour les Taliban [10]. Au cours de cette période de 17 kilomètres loin de Dubaï, le LTTE a également exploité une entreprise de fret connu sous le nom de Otharad Cargo, Daya dirigée par la jeune sœur de Nithi canadien basé membre de la LTTE KP unité. On soupçonne que Otharad Cargo a acquis plusieurs lots de matériel militaire dans le cadre de l'achat d'arrangements avec les Taliban Sharjah réseau. Il a été également la fonction de Otharad Cargo au service des opérations de la flotte des LTTE dans la région du Golfe. Des fonctionnaires d'une agence de la sécurité en Asie crois Kumaran Pathmanadan (KP) chef de l'unité de passation des marchés LTTE (KP unité) a voyagé de Bangkok par le biais de Karachi à Kaboul le 19 Mai 2001 et a tenu des réunions avec des fonctionnaires des Taliban sur les questions relatives au réseau de Sharjah.
Informations récupérées à partir d'un ordinateur portable d'un agent d'achat LTTE maintenant à la garde d'un pays occidental a fourni des informations détaillées sur les activités des LTTE au Pakistan. Les LTTE ont enregistré une société de façade, à Karachi, qui avait acheté plusieurs lots d'armes pour les LTTE et plusieurs autres groupes pakistanais. Une cargaison d'armes achetés par cette société de façade et en route vers les eaux du Sri Lanka a été intercepté par la marine Sri Lanka et détruit en Septembre 2007.
Brian Joyce dans un article du Jane's Intelligence en Novembre 2002 sur le financement du terrorisme en Asie du Sud affirme que les LTTE flotte fourni un appui logistique à Harakat al-Mujahideen, un groupe de militants pakistanais avec Al-Qaida affiliations pour transporter une cargaison d'armes à Abou Groupe Sayyaf (ASG) aux Philippines [11]. Les LTTE ont utilisé un navire marchand enregistré par une société de façade à Lattaquié, en Syrie jusqu'en 2002 au service de la plupart des gris / noir chartes.
Depuis des Nations Unies pour l'embargo sur les armes à l'Érythrée et l'Éthiopie, la corne de l'Afrique a évolué en une plaque tournante pour le commerce des armes. En opposition à un soutien militaire éthiopien au Gouvernement de transition en Somalie, le Gouvernement de l'Érythrée est accusé de fournir un soutien matériel aux rebelles islamistes en Somalie dirigé par l'Union des tribunaux islamiques (UTI) [12]. L'Union des tribunaux islamiques qui contrôle les zones dans le sud de la Somalie est un membre constituant de l'Union de l'islam (Al Ittihad al Islamiya) dirigé par Hassan Dahir Aweys étroits liens avec Al-Qaida. Les armes de Bakaaraha marché près de Irtogte à Mogadishu-Sud est considérée comme le point de distribution central pour le commerce des armes dans la Corne de l'Afrique. Un rapport des Nations unies par le Groupe de contrôle sur la Somalie en vertu de la résolution 1724 (2006) en date du 18 Juillet 2007, fournit des éléments de preuve explicite de l'Érythrée implication dans le transport d'armes à la Somalie. Le rapport fournit des éléments de preuve relatifs à l'achat d'avions-cargos par Eriko entreprises à Asmara, qui est censé être une société de façade du gouvernement érythréen à faire régulièrement des livraisons d'armes à la Somalie [13]. La même société est également mentionnée par le Times de Londres en Février 2007 Article dans lequel il affirme avoir la preuve que le général Tambi, des Forces de défense érythréennes utilisé Eriko les entreprises à charte plusieurs Ilyusion Antonov et des avions de transport de l'aviation Aerolift à déplacer de grandes quantités d'hommes et de matériel à la Somalie [14]. En outre, le rapport de l'ONU indique également que le gouvernement érythréen a livré un lot de six SA-18 surface-air missiles à la Cour Union islamique en Somalie.
L'Érythrée est devenue un important point de transbordement et de refuge pour les principaux intervenants dans le commerce des armes. Les LTTE ont établi une présence en Érythrée principalement à opérer dans le marché des armes. Il est estimé que le LTTE entretient des interactions avec de nombreux groupes armés y compris les groupes affiliés à Al-Qaida opérant dans le réseau érythréen. Le Sénat des États-Unis Comité des relations étrangères rapport daté du 15 Décembre 2006, a déclaré explicitement que le gouvernement de l'Érythrée fournit une aide directe aux LTTE [15]. La connexion érythréen est extrêmement important pour les LTTE, Tigres tamouls, en fait, dirigeant Velupillai Prabakaran a envoyé un fax signé personnellement au Président Isaias Afewerki de l'Érythrée, le 24 Mai 2006, communiquer directement avec un chef d'État [16]. Président Afewerki, avant la sécession de l'Erythrée de l'Ethiopie en 1993 a conduit l'Érythrée du Front populaire de libération (EPLF), un mouvement rebelle pour l'indépendance de l'Érythrée.
Le rapport de l'ONU indique également que la plupart des vols d'armes à la Somalie proviennent de la ville portuaire de Massawa, en Erythrée. Le rapport documente plusieurs Aerogem Aviation aéronef exploité par Fab Air d'effectuer régulièrement des livraisons en Somalie [17]. Les LTTE flotte est connu pour avoir une présence dans plusieurs ports d'Afrique de l'Est. En fait, le 23 Mai 1997, le LTTE navire MV Limassol a pris livraison d'un lot de Motars du Zimbabwe des industries de défense dans le port de Beira au Mozambique [18]. L'accès à la mer du port de Massawa, en Erythrée fournit des installations d'expédition pour les TLET à transporter des armes pour les eaux internationales au large de la côte du Sri Lanka.
Les LTTE ont créé une longue relation d'affaires avec des groupes islamiques aux Philippines. Dans les années 1990, les LTTE Dharmakulaseelan agent d'achat a été chargé de transférer des fonds du Canada vers les Philippines pour l'achat d'armes spécialisées [19]. Dr Rohan Gunarantna dans un article du Jane's Intelligence en Juillet 2001 sur rebelles islamistes aux Philippines indique que le LTTE a envoyé deux tacticiens et de la lutte contre des explosifs et experts au Sud des Philippines à la formation des membres du Front de libération islamique Moro (MILF) [20]. En avril 2007, de la Police Supt. Rodolfo Mendoza, de la police des Philippines a déclaré que les rapports ont alerté les autorités philippines à plusieurs membres des Tigres tamouls visiter les camps d'Abu Sayyaf dans le sud de Mindanao [21].
Contrairement à l'Europe et l'Amérique du Nord, les LTTE avant organismes n'ont pas participé activement à mobiliser le public tamoul communauté des expatriés au Moyen-Orient. Cela était principalement dû à la moins permissive environnement et les régimes de faible tolérance dans la région. Toutefois, au cours des deux dernières années, les membres des LTTE au Qatar se sont engagés dans des activités de financement régulier. En Novembre 2007, le LTTE cellule au Qatar a organisé une célébration de la Journée des Héros LTTE dans l'Ar-Rayyan dans le domaine de Doha. Les membres des LTTE sont également impliqués dans de violents actes d'intimidation de dissidents tamouls supporters au Qatar. Il est allégué que membre des LTTE Sukasan a brutalement assassiné un membre de la faction Karuna à Sanya, dans Doha en Février 2006 [22]. Le LTTE a également mis en place une cellule embryonnaire pour promouvoir la collecte de fonds et l'activité de transport, à Nicosie, Chypre.
Conclusion
Les liens entre les groupes terroristes islamistes et les LTTE ne sont pas conduits par la compatibilité idéologique, mais par la nécessité de facteurs d'influence de la fixation des prix et de commodité dans le marché des armes. Dans la plupart des cas, les LTTE ont développé des liens avec des groupes islamistes de s'organiser consolidés des possibilités d'achat. Les LTTE avec un budget annuel de US $ 200-300 millions de dollars, soutenu par un réseau institutionnalisé des marchés, la diaspora basée expertise technique et une flotte est un partenaire à d'autres groupes terroristes dans la négociation des achats traite. Le LTTE a la capacité de fournir un soutien logistique et faciliter la formation d'entités partenaires. Le LTTE a utilisé sa flotte et de l'expertise technique pour la fourniture d'armes et de transfert de compétences le plus souvent motivées par des raisons financières et de débouchés commerciaux lucratifs. (FIN)
Crédit: Institut international pour la lutte contre le terrorisme

( par Lanka-e-News journal 17.12.2008)
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Notes de bas de page:
[1] Gunaratna., Rohan, intervention indienne au Sri Lanka, 1994, Réseau sud-asiatique sur la recherche sur les conflits, Colombo. (p137)

[2] officiels EPDP site Web-Section Biographie

[3] Gunaratna., Rohan, intervention indienne au Sri Lanka, 1994, Réseau sud-asiatique sur la recherche sur les conflits, Colombo. (p156)

[4] Pape., Robert, Dying to Win: la logique stratégique des attentats-suicide, 2005, Random House, New York. (P142)

[5] Rohan Gunaratna, Suicide Terrorisme: une menace mondiale, Jane's Intelligence (20 Octobre 2000)

[6] Gunaratna., Rohan, Sri Lanka crise ethnique et de la sécurité nationale, 1998, Réseau de l'Asie du Sud sur la recherche sur les conflits, Colombo. (P243)

[7] Anthony David, la prolifération des Stingers au Sri Lanka, Jane's Intelligence Review (01 Septembre 1998)

[8] Farah., Douglas & Braun., Stephen, marchands de la mort, 2007, John Wiley & Sons Inc, New Jersey. (p156)

[9] ibid (p117-136)

[10] Gunaratna, Rohan, Inside Al Qaeda, 2002, Berkley Books, New York. (p189)

[11] Brian Joyce, le financement du terrorisme en Asie du Sud-Est, Jane's Intelligence Review (01 Novembre 2002)

[12] Office des Nations Unies du Conseiller spécial pour l'Afrique, Vue d'ensemble des processus de DDR en Afrique, 14 Juin 2007 (p13)

[13] Rapport du Groupe de contrôle sur la Somalie en application de la résolution du Conseil de sécurité 1724 (2006) en date du 18 Juillet 2007 (P9).

[14] Jon Swain et Brian Johnson-Thomas, Royaume-Uni Sunday Times (18 Février 2007)
[15] Sénat Commission des relations extérieures du rapport, le 15 Décembre 2006 (p16)

[16] Une copie de la télécopie est disponible avec une agence de la sécurité en Asie.

[17] Rapport du Groupe de contrôle sur la Somalie en application de la résolution du Conseil de sécurité 1724 (2006) en date du 18 Juillet 2007 (p38).

[18] Vijay Sakhuja, la dynamique des LTTE commerciales de l'infrastructure maritime, Observer Research Foundation, avril 2006 (p5)

[19] Peter Chalk, le SCRS Analyze préliminaire de la LTTE (Commentry n ° 77) 17 Mars 2000

[20] Rohan Gunaratna, l'évolution et la tactique de groupe Abu Sayyaf, Jane's Intelligence, 01 Juillet 2001

[21] Cynthia Balañá, rebelles tamouls envoyé des armes à Abus, The Inquirer (Manille), 08 avril 2007

[22] Asie Tribune, News rapport daté du 8 Février 2006 --

Qui peut dire qu'il n'existe pas de démocratie au Sri-lanka ?, Qui peut dire que les Cinghalais sont racistes ?

Qui peut prétendre qu'il y a violation des droits de l'homme du gouvernement Sri Lankais ?

Pourquoi certains pays occidentaux aident-ils les terroristes du LTTE ?

Pourquoi certaines ONG s'opposent à la politique chinoise mais aident-elles les terroristes du LTTE ?

Mr. Pillaiyan qui était auparavant au côté des terroristes du LTTE tamoul contre le gouvernement en tant que n°2 côté est.

Le 10 mai 2008, se déroulaient les éléctions provinciales à l'est, suite à sa libération du LTTE par l'armée sri-lankaise.

Les cinghalais, tamouls et musulmans ont pu voter. D'après les résultats, le chef ministériel nommé est Mr. Pillaiyan qui était auparavant au côté du LTTE contre le gouvernement en tant que n°2 côté est.

Après un désaccord avec Prabhakaran (chef du LTTE), Mr. Pillaiyan er Mr Karuna (ancien n°1 du LTTE) ont signé la paix avec le gouvernement et se sont associés à l'armée sri-lankaise contre le LTTE car ils ont compris que certains pays occidentaux étaient liés avec le LTTE. Ces deux hommes ont dévoilé tous les secrets entre le LTTE et certains pays occidentaux notamment la Norvège. Beaucoup d'ONG ont aussi aider les terroristes.

Durant ces élections, aucun représentant cinghalais n'a souhaité se présenter à ce poste, souhaitant que ce soit un tamoul ou un musulman qui soit élu. Les cinghalais voulant montrer qu'ils ne sont pas racistes.

Avant de prendre ses fonctions ministérielles, il s'est excusé et demandé sa bénédiction auprès des deux plus grands moines bouddhistes du Sri Lanka, comme pour les autres politiques élus démocratiquement. Il s'est excusé d'avoir endommagé le temple de Kandy lors d'un attentat à la bombe posé par le LTTE tamoul.

Mr. Pillaiyan votant le jour des élections le 10 mai 2008.

Voici les photos de Mr. Pillaiyan, au moment où il prit son poste en tant que chef ministériel de l'est

Voici les musulmans qui ont aussi été élus en tant que ministres de l'est

L'emblème du parti de Mr. Pillaiyan, le parti TVMP étant ce drapeau qui ressemble à celui des Tigres à l'exception des armes qui ont été remplacéers par une poignet de mains.

Drapeau du Sri-Lanka	Emblème du Parti TVMP	Emblème du LTTE

Significations du drapeau Sri-Lankais: à gauche, bande verticale verte (musulmans) et orange (tamouls). A droite, lion jaune portant une épée (autorité) sur fond brun et 4 feuilles (symboles bouddhistes) (1978)

Le drapeau du TVMP prouve qu'il ya de la démocratie par rapport au LTTE. Comment peut exister la démocratie avec ce drapeau portant des armes et des balles? Alors pourquoi certains pays veulent aider ces terroristes?

(Article écrite par AHFESL le 25.05.2008)

Abus sexuel commis par les humanitaires

ALTER INFO

Abus sexuel commis par les humanitaires ONG

DAILYNEWS

www.dailynews.lk

ISLAND

LANKA TRUTH

www.lankatruth.com

THE SUNDAY LEADER

www.thesundayleader.lk

SUNDAY TIMES

www.sundaytimes.lk

"lAk`Ùp"

http://www.lankadeepa.lk

"Øvûn"

http://www.divaina.com

"lAk` I ÎVS"

http://www.lankaenews.com

"âUÉz"

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