Inquiétude autour d'une importante escroquerie aux voitures d’occasion Avec Magouille Garagistes (Concern about a major scam to used cars - With Scam Garages)

ATTENTION VOTRE VIE ET VOTRE L'ARGENTS AVEC LES MAGOUILLES GARAGISTES EN FRANCE.

(Même dans les Quartier Chic et Riche)

ATTENTION ABOUT YOUR LIVES AND MONEY WITH SCAM GARAGES IN FRANCE. (Even in the Chic and Rich Villages)

Voiture d’occasion : votre compteur a peut-être été trafiqué
http://www.planet.fr/magazine-auto-voiture-doccasion-votre-compteur-a-peut-etre-ete-trafique.746439.1501.html

Wikimedia-France-64160

Environ 600 000 véhicules d'occasion vendus en France chaque année auraient leur compteur trafiqué, selon des chiffres de la Commission européenne.
Vous avez déjà eu l’impression de faire une bonne affaire en achetant une voiture d’occasion au faible compteur kilométrique ? Vous peut-être été dupé par son vendeur. Selon la Commission européenne, la fraude au compteur sur les voitures d’occasion concernerait chaque année entre 5 et 12% des ventes en Europe. En France, 600 000 voitures seraient trafiquées avant d’être revendues, selon la Fédération internationale de l’automobile.
La fraude s’avère de plus en plus facile puisque de nombreux dispositifs électroniques permettent de réinitialiser les compteurs kilométriques pour quelques centaines d’euros. Les voitures plus récentes sont plus susceptibles d’être trafiquées grâce à des logiciels téléchargeables sur Internet permettant de modifier les chiffres en seulement quelques secondes. Avec finalement quelques milliers d'euros parfois gagnés sur la vente par le fraudeur.

Des solutions étudiées et mises en pratique
Si nos voisins européens peuvent connaître les mêmes problèmes, certains ont déjà trouvé une solution. En Belgique, les autorités ont ainsi mis en place un système du "Car-Pass". "Ce document, obligatoire lorsque l'on vend une voiture d'occasion, indique le kilométrage, la marque et le modèle du véhicule et son numéro d'identification. Dès qu'une voiture entre dans un atelier belge, un relevé est fait pour le mettre à jour", rapporte le Figaro.

Pour faire face au fléau, la Commission européenne a décidé de suivre l’exemple et d’enregistrer les mesures kilométriques d’un véhicule à chaque contrôle technique, ce qui permettra par la suite d’établir une base de données au niveau européen. Il faudra toutefois attendre pour connaître l’impact sur les fraudes au compteur puisque la mesure ne devrait pas entrer en vigueur avant 2018.
En vidéo sur le même thème : Les compteurs trafiqués

Avoir ce Vidéo :
Video-Trafic-Compter-Voiture-Planet.fr

Voiture d’occasion : votre compteur a peut-être été trafiqué
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Environ 600 000 véhicules d'occasion vendus en France chaque année auraient leur compteur trafiqué, selon des chiffres de la Commission européenne.
Vous avez déjà eu l’impression de faire une bonne affaire en achetant une voiture d’occasion au faible compteur kilométrique ? Vous peut-être été dupé par son vendeur. Selon la Commission européenne, la fraude au compteur sur les voitures d’occasion concernerait chaque année entre 5 et 12% des ventes en Europe. En France, 600 000 voitures seraient trafiquées avant d’être revendues, selon la Fédération internationale de l’automobile.
La fraude s’avère de plus en plus facile puisque de nombreux dispositifs électroniques permettent de réinitialiser les compteurs kilométriques pour quelques centaines d’euros. Les voitures plus récentes sont plus susceptibles d’être trafiquées grâce à des logiciels téléchargeables sur Internet permettant de modifier les chiffres en seulement quelques secondes. Avec finalement quelques milliers d'euros parfois gagnés sur la vente par le fraudeur.

Des solutions étudiées et mises en pratique
Si nos voisins européens peuvent connaître les mêmes problèmes, certains ont déjà trouvé une solution. En Belgique, les autorités ont ainsi mis en place un système du "Car-Pass". "Ce document, obligatoire lorsque l'on vend une voiture d'occasion, indique le kilométrage, la marque et le modèle du véhicule et son numéro d'identification. Dès qu'une voiture entre dans un atelier belge, un relevé est fait pour le mettre à jour", rapporte le Figaro.

Pour faire face au fléau, la Commission européenne a décidé de suivre l’exemple et d’enregistrer les mesures kilométriques d’un véhicule à chaque contrôle technique, ce qui permettra par la suite d’établir une base de données au niveau européen. Il faudra toutefois attendre pour connaître l’impact sur les fraudes au compteur puisque la mesure ne devrait pas entrer en vigueur avant 2018.
En vidéo sur le même thème : Les compteurs trafiqués

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Inquiétude autour d'une importante escroquerie aux voitures d’occasion

importante-escroquerie-aux-voitures-Planet.fr-08.07.2015

Plus de 5000 certificats de remise en circulation auraient été attribués à des véhicules gravement endommagés. Une escroquerie très dangereuse.
Une enquête menée depuis quelques mois en Île-de-France par la section de recherche de la gendarmerie de Paris, révélée par Le Parisien jeudi, a mis au jour un vaste réseau d’escroquerie sur les véhicules d’occasion, ou plus précisément les véhicules gravement endommagés (VGE).

Ainsi, en trois ans, plus de 5000 certificats de remise en circulation auraient été remis pour des véhicules qui ne devraient pas rouler, car beaucoup trop dangereux. Et cela sans que les trois garagistes suspectés ne se soient assuré que les voitures avaient bien été réparées avant.

Entrer en relation avec les propriétaires des véhicules
"A minima, on peut parler de certificat de complaisance (…) Mais il faut ajouter le rôle de quelques garagistes qui, par une implication à différentes étapes de la chaîne, ont contribué à l'importance de cette escroquerie qui fait craindre le pire du point de vue de la sécurité routière", explique un magistrat interrogé par le quotidien.
Les suspects comparaîtront la semaine prochaine devant la justice. Reste encore à savoir ce que vont devenir ces véhicules qualifiés de dangereux. "Il va falloir rentrer en relation avec les propriétaires, et sans doute diligenter de nouvelles expertises afin de s'assurer que tous les équipements de sécurité sont présents, ce qui est loin d'être acquis", précise une source proche du dossier auprès du Parisien.

A lire aussi - Voiture d’occasion : votre compteur a peut-être été trafiqué
Une étude de la Fédération internationale de l’automobile publiée en décembre dernier montrait que 600 000 voitures seraient trafiquées avant d’être revendues.

Magouilles autour de cartes grises
Modifié le 21/04/2014 à 04:00 | Publié le 19/04/2014 à 03:28
http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/magouilles-autour-de-cartes-grises-2253692

Loïc TISSOT.

Trois fonctionnaires de la préfecture de Vendée sont mis en examen. Des garagistes auraient profité de malversations.
Ils sont aujourd'hui suspendus de leurs fonctions au sein du bureau des usagers de la route. Trois fonctionnaires d'État, travaillant au service carte grise de la préfecture de Vendée, à La Roche-sur-Yon, ont été récemment mis en examen. Ils ont été interpellés voilà trois semaines par le service régional de la police judiciaire d'Angers, où ils ont été entendus par le pôle financier.

Contrôles internes

« Des infractions quant à la délivrance de cartes grises ont été commises », explique Hervé Lollic, procureur de la République au tribunal de La Roche. Il sera discret sur le dossier : « Ce sont des contrôles internes au niveau préfectoral qui ont décelé des anomalies. » Et c'est le préfet qui a saisi la justice.

Selon nos sources, les trois personnes soupçonnées (une femme, deux hommes) se sont enrichies illicitement via un jeu d'opérations informatiques. Elles auraient ainsi fait passer des créations de carte grise pour des changements d'adresse. Leurs manoeuvres frauduleuses ont trouvé clients qui, moyennant finances, auraient obtenu des cartes grises à moindre coût. Des professionnels du secteur automobile seraient impliqués. « Il reste des personnes à entendre dans le cadre de cette affaire », relève le ministère public.

Reste à connaître l'étendue du « trafic », la durée des agissements des trois mis en examen. En Vendée, le prix du cheval fiscal, qui permet de fixer le tarif d'une carte grise, est de 48 €. Cela laisse supposer des malversations importantes. « Tout reste à vérifier. L'enquête est en cours. »

Publié le 11/04/2012 à 08:07, Mis à jour le 11/04/2012 à 11:19
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/11/1328120-je-me-suis-fait-arnaquer.html
Victime d'une arnaque à la voiture d'occasion, il témoigne
escroquerie à la voiture d'occasion

Victime-d-un-Arnaque-LaDepeche-11.04.2012

« IDO Auto, la voiture de vos idéaux ». C'était trop beau pour être vrai. Lorsque Samuel Marguillard, résident à Bessières en Hautes Garonne a débarqué zone du Pic sur le site de la concession I.D.O Auto ce 10 novembre 2011, il ne se doutait pas que l'achat de sa nouvelle voiture prendrait une telle tournure. La veille, c'est sur le site Leboncoin qu'il trouve la voiture dans laquelle il se voit déjà au volant. Le modèle est récent, 2008, affiche un kilométrage faible et surtout un prix défiant toute concurrence. Flairant l'affaire du siècle, Samuel Marguillard prend rendez-vous et le lendemain le voilà sur le vaste parking d'« IDO Auto » situé au 13 rue Hélène Boucher. La voiture lui tend le volant. Elle est effectivement en excellent état, le contrôle technique est vierge et le vendeur, belle gueule et bonnes manières affiche le sourire de celui qui est sûr de son produit. Autour, d'autres clients attendent. L'affaire est alléchante et la cause rapidement entendue. Samuel Marguillard signe le bon de commande, donne 678 euros d'acompte contre une poignée de main commerciale et l'assurance de la reprise de sa propre voiture et d'une carte grise dont le vendeur promet de s'occuper des formalités contre un acquittement anticipé du nouveau propriétaire. Six jours plus tard, Samuel Marguillard revient au garage s'acquitte d'une somme de 4 000 euros en chèque laisse ce qui est désormais son ancien véhicule, signe les dernières paperasses, repart non sans une ultime poignée de main toujours commerciale du vendeur qui lui promet « c'est juré » de lui envoyer dans les plus brefs délais le fameux sésame pour circuler en paix et attester enfin du titre de propriété. Bon prince, le vendeur offrira les frais d'immatriculation ! Un mois plus tard, ne voyant rien venir, Samuel Marguillard s'inquiète et téléphone au gérant de la société IDO Auto. Réponse embarrassée et pas très nette de ce dernier, « la préfecture de la Haute-Garonne met beaucoup de temps ! ». Certes. Sauf que depuis, plus de nouvelles de la fameuse carte grise, ni du gérant.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/11/1328120-je-me-suis-fait-arnaquer.html#JeImmvuPYs4Z0241.99
En liquidation judiciaire

Et pour cause. Le tribunal de commerce de Foix, en date du 28 février dernier a prononcé une liquidation judiciaire immédiate. Aujourd'hui le garage est une coquille vide et son jeune gérant s'est fait la malle sans donner d'adresse. Sur le site du Pic, seule une dépanneuse récente et quelques véhicules de plus de dix ans immatriculés hors département attendent que le mandataire judiciaire Jean-Lucien Brenac de Foix règle l'affaire. Résultat de la transaction, Samuel Marguillard, bien que l'ayant payé, roule dans une voiture qui ne lui appartient pas au regard de la loi. Quid de la carte grise ?

Plainte collective ?
« C'est clair je me suis fait rouler, arnaquer. En fait la voiture appartient à un gros concessionnaire basé sur Auch, qui avait vendu un lot de voitures dont « la nôtre » au gérant d'IDO Auto. Mais comme ce dernier n'a pas réglé l'ardoise au concessionnaire Auscitain il a en sa possession l'ancienne carte grise, et pour l'heure tout est bloqué. J'espère qu'il nous la restituera. Je ne voudrais pas être doublement victime » s'inquiète Samuel Marguillard qui a déposé plainte à la gendarmerie de Montastruc-la-Conseillère le 8 mars dernier. En attendant que son affaire trouve un épilogue heureux, l'infortuné souhaite que d'autres victimes se manifestent pour intenter une action en justice, collective. « Le pire, ce serait de me retrouver à pied ! » se désole Samuel Marguillard.
L'Eurl IDO Auto situé zone du Pic a fermé définitivement ses portes pour cause de liquidation judiciaire. Son gérant est introuvable et un de ses clients dénonce « une escroquerie ». Témoignage.

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Info route sécurité : Publié le 09/07/2015 - 18:15
Un grand trafic de voitures d'occasions démantelé

UnGrand-Trafic-de-Voiture-News-Autoplus.fr

Les gendarmes ont démantelé un vaste trafic de voitures d'occasion potentiellement dangereuses.
Plus de 5.000 voitures dangereuses circulent en France ! C’est ce que révèlent nos confrères du Parisien. En effet, les gendarmes de la section de recherche de Paris ont démantelé un vaste réseau de trafic de voitures gravement endommagées (VGE). Il sévissait en Ile-de-France depuis au moins trois ans.

Selon une source proche de l’enquête citée par Le Parisien, la justice a remis au ministère des Transports la liste des voitures concernées par cette affaire. Les propriétaires vont être contactés afin que de vraies expertises soient réalisées sur leur automobile. Rappelons qu’une voiture est déclarée "gravement endommagée" lorsque, à la suite d’un accident, la carrosserie, le châssis, la direction ou des éléments de sécurité (ceintures, airbags) ont subi d’importantes déformations ou détériorations.
D'une simple enquête de vols à une escroquerie à l'échelle nationale
C'est en enquêtant, il y a sept mois, sur un homme soupçonné de vols de voitures et de pièces détachées que la gendarmerie a mis à jour cette incroyable escroquerie. Ce dernier travaillait en fait pour trois experts automobilistes, qui délivraient des certificats de remise en circulation sans même contrôler l'état des véhicules, et sept garagistes, qui utilisaient les pièces détachées volées pour redonner un semblant de vie aux véhicules.

Une fois le travail terminé, ces voitures étaient mises en vente sur le site de petites annonces Leboncoin.fr ou dans l'un des dix-sept garages impliqués dans l'affaire (quinze dans l'Essonne, un dans les Yvelines et un autre dans le Loiret). Résultats : des milliers d'autos ont été réinjectées sur le marché de l'occasion et circulent actuellement sur les routes de France.

Au total, 1,5 million d'euros ont été saisis dans cette enquête et, selon les estimations, les trois experts engrangeaient près de 8.000€ de rémunération mensuelle, dont la moitié n'était pas déclarée. Onze personnes comparaitront devant le tribunal correctionnel d'Evry, le 3 août 2015. Ils devront répondre de "travail dissimulé, d'escroquerie en bande organisée et de mise en danger de la vie d'autrui".
Un problème de traçabilité des pièces détachées
Dans une interview accordée au Parisien, Pierre Chasseray, délégué général de l'association 40 millions d'automobilistes, se dit choquer par ces révélations: "C'est choquant. Ce réseau impliquait des membres de toutes les professions liées à l'automobile, épavistes, garagistes et surtout experts d'assurance. Que certains soient liés dans un tel dossier, c'est hallucinant."

Toujours selon lui, "globalement, il y a un vrai problème de traçabilité des véhicules d'occasion et des pièces détachées utilisées pour les réparations." Mais il ne s'arrête pas là, "il y a dix jours, nous avons présenté une proposition de loi, soumise au Sénat, en demandant l'instauration d'un contrat de vente obligatoire et gratuit lors de la vente d'un véhicule d'occasion. Pour l'instant, au-delà du contrôle technique, on ne signe qu'un certificat de cession pour l'administration. En clair: l'acheteur a peu de choses entre les mains. Un tel contrat servirait de gage de transparence sur l'état du véhicule. La Belgique l'a fait et cela a grandement contribué à améliorer les choses."

Que pensez-vous de cette idée ?

Photo : A. Paumard / Auto Plus
Source : Le Parisien